mercredi 24 septembre 2025
mardi 27 avril 2021
Festival du film africain de Louxor - ’Zanka Contact
Deux réalisateurs marocain primés au festival de Louxor
La 10e édition du Festival du film africain de Louxor LAFF s’est tenue du 26 au 31 mars sous le slogan « Dix ans d’imagination ».Le festival a célébré l’imagination et la créativité de toute l’Afrique, le cinéma soudanais étant l’invité d’honneur. Le prix du meilleur film est revenu au réalisateur Marocain Ismaël Al-Iraki pour ’Zanka Contact’,
Un autre film marocain a été primé lors de ce festival. Il s’agit du prix du jury qui est revenu au réalisateur Yazid Al-Kadiri pour ’Ultimate Ink’, Organisé par l’Independent Artists Youth Foundation, le LAFF est présidé par son fondateur, le scénariste égyptien Sayed Fouad, et l’acteur Mahmoud Hemeida en est le président d’honneur. Lors de cette édition, le festival a également rendu hommage à la star tunisienne Hend Sabri pour sa carrière exceptionnelle dans l’industrie cinématographique arabe, au réalisateur égyptien Ali Abdel-Khalek, à l’acteur Mohy Ismail, à l’acteur Samir Sabry, au réalisateur malien Cheick Oumar Sissoko et au Marocain Azelarab Kaghat.
Voici le palmarès complet de cette édition 2021.
La compétition longs métrages fiction :
Le prix du meilleur film pour’Zanka Contact’, réalisé par Ismaël Al-Iraki du Maroc.
Le prix du jury pour’Air Conditioner’, réalisé par Fradique d’Angola.
Mention spéciale à Khaled El-Sawy pour son interprétation exceptionnelle dans le film égyptien intitulé’For Rent’, réalisé par Islam Belal.
La compétition des documentaires longs métrages :
Le prix du meilleur documentaire est attribué à « Faritra », réalisé par Tovoniaina Rasoanaivo et Luck Razanajaona de Madagascar.
Le prix du jury à’Downstream to Kinshasa’, réalisé par Dieudo Hamadi du Congo.
La compétition des films de la diaspora:
Le prix du meilleur film pour « Farewell Amor », réalisé par Ekwa Msangi (États-Unis).
Le prix du jury pour’Becoming Black’, réalisé par Ines Johnson-Spain d’Allemagne.
Mention spéciale pour « Tilo Koto : Under The Sun », réalisé par Sophie Bachelier et Valérie Malek (Pays-Bas).
Compétition des courts métrages :
Le prix du meilleur court métrage pour’Good-Bye’, réalisé par Anthony Nti du Ghana.
Le prix du jury pour’Ultimate Ink’, réalisé par Yazid Al-Kadiri du Maroc.
Mention spéciale à Al-Tayeb Al-Hadi Al-Tayeb pour son interprétation dans « Listen To My Dance », réalisé par Alyaa Sirelkhatim (Soudan).
Le prix FEPRESCI a été attribué à « This Is Not A Burial, It’s A Resurrection », réalisé par Lemhang Jeremiah Mosese du Lesotho.
Le prix Radwan El-Kashef, décerné par les jeunes artistes indépendants Shebab, a été attribué à « For Rent », réalisé par Islam Belal.
mardi 30 juin 2020
Nazra for Feminist Studies
Mission et objectifs

Nazra vise à intégrer ces valeurs dans la sphère privée et publique car elles pensent que la meilleure façon de préserver les méthodes et les approches féministes est de créer un mouvement fort et décentralisé ayant la capacité de se battre pour lesdites valeurs. Nazra veille sur les femmes d'Égypte et de la région MENA à l'aide d'outils, de méthodes et de tactiques novatrices.
lundi 4 décembre 2017
HandyVoice-INJAZ
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Phot@HandyVoice |
lundi 28 novembre 2011
PJ D
Sincèrement je suis contente que le PJD, Parti Justice et développement ait remporté les élections et haut les mains d’ailleurs. Je ne ressens que de la compassion et une grande admiration pour ce nouveau venu dans notre vie politique.
Les files d’attente et mobilisation avec engouement et enthousiasme qui devaient s’en suivre, devant les bureaux de vote, n’étaient pas impressionnantes, ce vendredi 25 novembre.
avec un seul souhait,très important à mes yeux, est que ces nouveaux dirigeants du PJD qui, il faut le reconnaître , ont toujours été proches de la population, ne faillent pas à leurs engagements et prendront conscience du fossé qui s’est creusé entre cette même population et les anciens hommes politiques ainsi que la marginalisation et l’exclusion, aux couleurs de l’indifférence qu'elle a subi durant plusieurs décennies.
Et bien évidemment,Si c’est pour le bien de ce pays et de nos enfants, il a tout mon SOUTIEN.
Je reprendrai avec un grand plaisir une phrase tirée du livre de Amin Maalouf '' Les identités meurtrières'' page 113,
''… Ma conviction profonde, c’est que l’avenir n’est pas écrit nulle part, l’avenir sera ce que nous en ferons.’’’