Je mange, tu manges, ils crèvent!
Je suis rentrée en colère, énervée et même dégoûtée, tout à l’heure de ma promenade hebdomadaire à l’ancienne médina.
Non pas par la vue de nos incivismes qui sont devenus notre décor quotidien. Pauvre Rabat, capitale du royaume, riche en histoire mais qui s’appauvrit de plus en plus en infrastructures. Ni même par la tramdina de quelques personnes, des cas isolés bien certainement, mais par cette vue sordide. De la nourriture jetée par quantité et énorme de surcroît, dans tous les coins des ruelles.