Et les lunes passèrent et les printemps revinrent...
Et les joies éclatèrent et les peines s'estompèrent...
Et cette grande plaie si douloureuse ...
Persiste et signe mon malheur...
J'abdique devant la volonté...
Injuste de cette nature sans coeur...
Tu as existé, tu n'es plus, tu es des leurs...
Repose en paix ma fleur...
Tu es dans mon coeur...
A mon fils ...Tu me manques tellement