Ce n'est qu'une petite pause...
...avant la nouvelle saison.
Ce que je Pense se fait rare ces derniers temps, ce n'est pas je ce que j’Ecris qui me manque, mais je ne suis qu'un être humain avec ses moments faiblesses et ses moments de forces. Ce ne sont pas les sujets qui manquent non plus, ni la reprise avec mon métier, le journalisme, que j'adore qui en ai la cause, mais c'est tout simplement, je n'ai le gout à rien. Tout ce qui tourne autour de moi ,me parait futile et inutile.
Tout semble bloqué, arrêté, sans issue, dans mon intérieur avec une baisse tendancielle de motivations, toujours de l'intérieur.
Une amie à moi que je qualifie de oiseau de mauvais augure ( elle se reconnaîtra surement, quand elle lira ce billet) avec sa technicité bien adaptée aux circonstances, m’a révélé chaleureusement d'ailleurs, que j avais besoin de voir les choses différemment, car l image que je donne aux gens , repose sur des bases anciennes qui , d’après elle toujours, ne sont pas adaptées aux conditions des temps présents.
Mon amie insiste et m'ajoute par un e-mail (bien évidement elle, est adaptée à ce monde nouveau) que le monde a changé et que j ai besoin de changer aussi. En somme, mon amie me demande de purger mon passé et adopter un changement radical.
Oiseau de mauvais augure, voici ma réponse que tu connais déjà: seule la vérité sort de la bouche des enfants.
A toi oiseau de mauvais augure de méditer : Quatre chevaux attelés ne peuvent ramener dans la bouche des paroles imprudentes" (Confucius).
Ce que je Pense se fait rare ces derniers temps, ce n'est pas je ce que j’Ecris qui me manque, mais je ne suis qu'un être humain avec ses moments faiblesses et ses moments de forces. Ce ne sont pas les sujets qui manquent non plus, ni la reprise avec mon métier, le journalisme, que j'adore qui en ai la cause, mais c'est tout simplement, je n'ai le gout à rien. Tout ce qui tourne autour de moi ,me parait futile et inutile.
A toi oiseau de mauvais augure de méditer : Quatre chevaux attelés ne peuvent ramener dans la bouche des paroles imprudentes" (Confucius).